Docteur Bach et cancer

Le docteur Bach et le “Cancer” ont un lien très particulier que je vais essayer brièvement ici de mette en Lumière.

  • Le docteur Edward Bach fut opéré en urgence d’une tumeur en 1917, à l’âge de  31 ans, ses confrères estimant qu’il ne lui restait que quelques mois à vivre.

Déjà motivé en tant que médecin par l’objectif de “Soulager la Souffrance”, il a utilisé sa lutte personnelle  comme un ressort supplémentaire dans la poursuite de sa “Mission”.

  • Comment ne pas avoir à l’esprit l’ idée que son cancer détermina son choix de se détacher de la médecine officielle pour aller vers l’homéopathie puis vers l’élaboration de sa méthode s’adressant autant à l’Âme qu’au corps,  tant il était devenu certain que “la maladie est la conséquence d’attitudes mentales erronnées”.

Nora Weeks, sa collaboratrice fidèle qui assista à la “naissance” des élixirs au côté du Docteur, témoigne de la douleur que ce dernier pouvait réellement éprouver, expérimenter, en “accouchant” de ces merveilles,  ses élixirs.

Elle nous rapporte que cette douleur était en quelque sorte un guide qui le menait aux fleurs bienfaitrices… pour être soulagé …

  • En 1936, il découvre “Star of Bethléem”, c’est l’aboutissement de sa méthode, sa Mission est accomplie.

Il lègue son oeuvre à l’humanité, Il meurt paisiblement dans son sommeil la même année. Il a alors 50 ans .


Il me semble, sachant cela, que les fleurs sont particulièrement créées pour aider et soutenir ceux qui souffrent de cette maladie, du cancer. Elles peuvent leur apporter soulagement et prises de conscience (prises de conscience de ces attitudes mentales à transformer) et les accompagner dans la recherche du message que leur délivre leur “mal a dit”…

 

Avant et après Bach, d’autres médecins affirment que

“La souffrance du Corps vient d’une souffrance de l’Âme”

le Docteur Michel Odoul (“dis moi où tu as mal et je te dirais pourquoi“) ou le docteur homéopathe Philippe Dransart (“la maladie cherche à me guérir“) entre autres,  ont basé leur pratique sur cette hypothèse, transmise par la tradition (Paracelse, Goethe, hanhemanh, Steiner, Bach…), que la souffrance de l’âme est la source de toute maladie physique.

Leurs travaux sont précieux parce que ils nous permettent, en étudiant notre maladie, de retrouver la piste de l’émotion négative, de la souffrance intérieure, du défaut, diront les plus lucides, qui l’a déclenchée.

 

  • La maladie nous explique que nous ne suivons plus l’Aspiration, l’Inspiration de notre Âme. Nos stresses et nos maladies sont des guides qui mettent l’accent sur ce point de rupture de notre Unité.

 

La maladie exprime les sentiments contradictoires que nous ne pouvons nous avouer à nous mêmes. Elle crie à l’Autre notre souffrance sans que nous ayons à remettre en question nos habitudes de vie ou nos comportements. Elle épargne l’image que nous avons de nous-même, rendant les situations ou les autres responsables de notre douleur. La maladie exprime un “désir” que nous ne pouvons satisfaire, que nous refusons d’écouter.

 

  • la prise de conscience de notre part de responsabilité dans ce qui nous arrive, honnêtement, avec du recul et du détachement, nous permet déjà de nous libérer, de ne pas rester attachés aux situations toxiques par la force du déni.
    Poser un acte pour se libérer du conflit détecté grâce à la maladie est essentiel à la guérison, selon le docteur homéopathe P.Dransart.

 

Après ces généralités, je reprends le fil du sujet avec quelques “clés universelles” qui ouvrent à la compréhension des conflits intérieurs qui peuvent se révéler à travers un cancer.
La “clé personnelle” appartient à chacun, qu’il s’agisse d’un pardon à accorder Vraiment, d’un renoncement ou tout acte de dénouement nécessaire.
Les fleurs de Bach prennent toute leur part dans ce travail personnel que la médecine officielle laisse trop souvent dans l’ombre…
Faire confiance à l’Âme qui Sait


Les émotions  et les fleurs
Une tristesse très profonde, au-delà de la colère, occultée, peut être souvent identifiée. Elle laisse la personne résignée au pire, ayant abandonné toute joie de Vivre, portant en secret un fardeau trop lourd. Elle est reliée aux poumons qu’elle épuise. C’est comme si un ressort était cassé. Et malgré la volonté de s’en sortir, la volonté de vivre, de lutter contre la maladie, certains malades ne guérissent pas. La volonté est importante mais ne suffit pas, le Goût, la Joie de vivre sont essentiels. Pour les retrouver, il faut plonger au coeur de sa tristesse, dans ses désillusions, avec détachement, et, forts des enseignements que nous offre cette plongée intérieure, expulser l’expérience toxique, redonner du sens à Sa vie,

  • – Les élixirs “Wild Rose” et “Sweet Chestnut nous redonnent le gôut de la vie, la joie de Vivre en nous aidant à revenir de nos tristesses profondes, de nos résignations, nos désespoirs…

L’égoïsme qui conduit au repli sur soi (par protection très souvent) peut être comparé à une tumeur qui se développe sans se soucier des conséquences sur le reste du corps, rappelant à celui qui souffre de l’un et de l’autre qu’il ne peut vivre isolé, que nous sommes tous en lien, ne serait ce que par l’air que nous respirons.

  • – Les élixirs “Water Violet” et “Heather” nous encouragent à créer du lien, à nous ouvrir, à développer notre communication et nos échanges.

à suivre…

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